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L’autosurveillance

Exercée par les bons patients, l’autosurveillance du RIN peut accroître la période de temps où le RIN se trouve à l’intérieur de l’intervalle thérapeutique ainsi que la qualité du traitement.

Une femme qui enlace sa mère

L’autosurveillance permet une meilleure utilisation du temps pour tous

La surveillance du TP et du RIN de vos patients qui prennent de la warfarine est essentielle pour garantir une prise en charge efficace de l’anticoagulation. Elle permet d’ajuster la dose au besoin pour augmenter le temps passé dans l’intervalle thérapeutique; toutefois, pour de nombreux patients, cette surveillance est synonyme de plus de visites en clinique ou à l’hôpital.

L’autosurveillance à l’aide des appareils CoaguChek® INRange ou CoaguChek® XS permet aux patients de mesurer eux-mêmes leur TP ou leur RIN, au moment qui leur convient. En comparaison avec les soins habituels, pour lesquels les patients doivent se rendre en clinique ou à l’hôpital pour le prélèvement d’un échantillon de sang veineux, qui est ensuite envoyé au laboratoire pour analyse, l’autosurveillance permet aux patients de jouir de plus de liberté et de temps pour eux1,2.

Les patients qui pratiquent l’autosurveillance peuvent transmettre à leur médecin leurs résultats sur une base régulière, ce qui vous permet de surveiller de près leurs valeurs de TP et de RIN et de faire les ajustements de la dose nécessaires sans attendre les résultats fournis par un laboratoire3,4.

Un mari qui présente ses résultats médicaux sur une tablette à sa femme

L’autosurveillance vous donne des résultats plus rapides qui vous permettent de prendre des décisions de traitement immédiates, simplifiant du coup la surveillance, comparativement aux routines de soins habituelles avec les prélèvements sanguins et les analyses du RIN en laboratoire5–9.

Cela pourrait se traduire par un flux de travail plus efficace tout en diminuant la surcharge sur votre cabinet6,10. En outre, plus vos patients pratiquent l’autosurveillance à la maison, plus vous pouvez accorder de temps à d’autres tâches importantes.

L’autosurveillance peut mener à un meilleur engagement des patients

En plus de vous faire gagner du temps, l’autosurveillance peut motiver les patients à participer à leurs propres soins11,12.

Dans une étude portant sur 2 922 patients prenant de la warfarine, 87 % des personnes réparties aléatoirement dans le groupe pratiquant l’autosurveillance respectaient la fréquence de surveillance prescrite, contre 52 % des personnes qui devaient se rendre en cabinet pour les tests13.

Le système CoaguChek® INRange donne des résultats fiables de TP et de RIN en moins d’une minute, et peut être utilisé par les patients de tous âges3,11,13–16.

Grâce à une courte séance de formation, vos patients peuvent apprendre à effectuer le test facilement et en toute confiance. En effet, des études ont montré qu’environ les trois quarts des patients admissibles peuvent apprendre à bien mesurer leurs valeurs de TP ou de RIN14,15.

Respect de la fréquence de surveillance prescrite13

87 %

Patients exerçant l’autosurveillance

52 %

Surveillance en cabinet
(soins habituels)

En tout, 87 % des patients exerçant l’autosurveillance ont respecté la fréquence d’analyse prescrite, contre 52 % de ceux qui devaient se rendre en clinique aux fins de réalisation de l’analyse.

Gestion optimisée des AVK

Grâce à l’autosurveillance, tout ajustement à apporter à la posologie de la warfarine de vos patients peut être effectué plus tôt que si le patient devait se rendre en cabinet aux fins de réalisation de l’analyse. Ainsi, le patient passera plus de temps dans l’intervalle thérapeutique, et il disposera d’un moyen plus efficace pour surveiller et gérer son traitement par la warfarine3,4,17.

Les patients qui surveillent eux-mêmes leur TP/RIN passent plus de temps dans l’intervalle thérapeutique que les patients prenant un AVK et pour qui l’analyse est réalisée en laboratoire ou en cabinet. Cela peut se traduire par une diminution du risque d’événements indésirables chez les patients qui exercent l’autosurveillance3,4,17–19.

Plus de temps (%) passé dans l’intervalle thérapeutique : autosurveillance vs soins habituels20

Graphique thérapeutique de CoaguChek

Réduction des complications et de la mortalité comparativement à la surveillance habituelle

Tableau des AVK

Facteurs à prendre en considération pour la prescription : facteurs qui influencent la capacité des patients à pratiquer l’autosurveillance

Tout patient ayant besoin d’une anticoagulothérapie orale à vie et dont l’état cognitif et physique est approprié peut apprendre à pratiquer l’autosurveillance. Une méta-analyse a démontré que l’âge du patient n’est pas un obstacle et que l’autosurveillance est une option sécuritaire pour tous les groupes d’âge16.

L’autosurveillance peut même être une option particulièrement appropriée pour les patients âgés. Lors de la séance de formation, les instructeurs médicaux qualifiés se font un devoir de répondre aux questions des patients en tenant compte de leurs besoins individuels. Les membres de la famille et les proches aidants peuvent également assister aux séances de formation.

De plus, les patients peuvent communiquer avec le Centre d’assistance Roche – CoaguChek® pour obtenir des réponses et des conseils avisés.

Afin de nous assurer que les patients ont le moins de difficultés possible à obtenir le remboursement de leur régime d’assurance maladie, nous recommandons d’inclure le plus de détails possible et les raisons médicales de la prescription sur l’ordonnance.

En savoir plus sur le remboursement
Une docteure qui sourit et qui met sa main sur l'épaule de sa patiente d'âge moyen
Une infirmière qui sourit à son patient

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Pour voir d’autres facteurs à prendre en considération au moment de déterminer si l’autosurveillance est une solution appropriée pour votre patient, prenez connaissance des différents portraits de patients.

Découvrir les histoires de Bruce et de Dorothée

Garder un œil sur les patients qui exercent l’autosurveillance

Même après avoir entrepris l’autosurveillance de la coagulation, votre patient demeure sous vos soins. Il est clairement précisé que le médecin traitant doit continuer de fournir des soins au patient et doit discuter avec le patient des mesures du RIN lors de rendez-vous trimestriels.

Ces discussions avec des patients indépendants peuvent renforcer la relation.

Former vos patients à l’autosurveillance
Une docteure qui montre des résultats de tests à un patient d'âge moyen
Une infirmière qui regarde avec une docteure des résultats médicaux sur un téléphone

Vous avez des questions sur l’autosurveillance?

Consultez notre FAQ pour trouver des réponses ou communiquez avec le Centre d’assistance Roche – CoaguChek®.

FAQ Contactez-nous

Références :

  1. Nagler M et al. J Thromb Haemost. 2013;11:197–199.
  2. National Institute for Health and Care Excellence. NICE diagnostics guidance DG14. Accessible au : http://www.nice.org.uk/guidance/DG14. Consulté en août 2016.
  3. Sharma P et al. Health Technol Assess. 2015;19:1–172.
  4. Bloomfield H.E et al. Ann Intern Med. 2011;154:472–482.
  5. Wurster M et al. Dis Manag. 2006;9:201–209.
  6. Larsson A et al. Ups J Med Sci. 2015;120:1–10.
  7. Ryan F et al. Thromb Res. 2010;126:e345-e348.
  8. Gubala V et al. Anal Chem. 2012;84:487–515.
  9. Bereznicki L.R.E et al. J Med Internet Res. 2013;15:e138.
  10. Huston T. Med Lab Obs. 2009;41:28–30.
  11. Gardiner C et al. Br J Haematol. 2005;128:242–247.
  12. Burgwinkle P et al. Managed Care. 2008;17(Suppl 9):1–8.
  13. Matchar D.B et al. N Engl J Med. 2010;363:1608–1620.
  14. Connock M et al. Health Technol. 2007;Assess 11(38):iii–iv, ix-66.
  15. Dolor R.J et al. J Thromb Thrombolysis. 2010;30:263–275.
  16. Heneghan C et al. Lancet. 2012;379(9813):322–334.
  17. Heneghan C.J et al. Cochrane Database Syst Rev. 2016;7;CD003839.
  18. Khan T.I et al. Br J Haematol. 2004;126:557–564.
  19. Heneghan C et al. Lancet. 2006;367:404–411.
  20. Holbrook A et al. Chest. 2012;141;e152S–e184S.